Mais j'ai bien compris que ce qui comptait vraiment pour ce petit garçon de quatre ans et demi, c'était ce moment privilégié avec sa maman, ce moment rien que tous les deux, "sans Etienne". Sa main n'a que très peu de fois quitté la mienne, son regard n'était jamais loin. Et dans la salle polyvalente où nous étions attendus pour le vin d'honneur, ma place à ses côtés fut farouchement défendue.
Aujourd'hui, j'ai suivi le petit trot de mon petit garçon de dix-sept mois, qui depuis hier sait se relever tout seul.
Aujourd'hui, j'ai suivi le petit trot de mon petit garçon de dix-sept mois, qui depuis hier sait se relever tout seul.
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