samedi 31 décembre 2011

Le son de la semaine Vol# 5


Sans rire, des années que je cherchais ce morceau, avec comme seule base les notes du début : TA tadadadada TA. Et puis la bande annonce de Hollywoo+Chazam, et voilà !

lundi 26 décembre 2011

Séquestrée

de Chevy Stevens.

Je me suis emparée de ce bouquin avec un petit a priori de légèreté. Il m'avait été conseillé par Maman, qui me dit "C'est vachement bien, ça parle d'une fille qui a été enlevée." Ouais, un petit moment policier en perspective, quoi.


Le récit est tellement prenant qu'on ne peut s'en détacher. On est tour à tour révoltée, écoeurée, ravagée, bouleversée. Parfois la lecture me fut même pénible (oui, je suis une petite chose sensible), mais au bout du compte elle suivait la réticence de l'héroïne à confier à sa psychiatre le récit de son calvaire.

Juste un conseil : on évite la quatrième de couverture, on évite la recherche de renseignements. On prend juste le livre, et on tourne les pages... Moins on en lit sur ce roman, plus on est surpris.


C'est un premier roman. J'ignore si la proposition suivante de Chevy Stevens sera à la hauteur de le première, mais il faudra je crois garder un oeil sur cet agent immobilier reconvertit à l'écriture.


PS : rien à voir avec la choucroute, mais je me suis battue tout l'après-midi pour faire une mise en page correcte de ce billet. Pfuit, on n'a pas des vies faciles, quand même... 20H58, je suis satisfaite.

mardi 20 décembre 2011

Avant/après #2

Si je pouvais, j'en ferais trois ou quatre dans ma journée...

  • BB crème de Garnier
  • Stick Dermablend (n°2 je crois, enfin, pas le plus clair) en anticernes
  • Fàp M.AC. : satin taupe, smut, naked et brulé
  • Crayon khôl noir CCB
  • un blush Sephora trois couleurs très irisé
  • gloss corail de Clarins

Enfin, tout ça de mémoire, parce que j'ai la flemme de remonter fouiller dans ma malle aux trésors. J'hésite encore sur ce que je vais tester demain ;-)

Si jolie

lundi 19 décembre 2011

341 jours

C'est le nombre de jours qui nous séparent du 1er décembre 2012. Ben oui. Comme ça, j'ai peut-être une chance de le réaliser, mon Calendrier de l'Avent home made...

Avant/après #1

A l'origine, il y a le blog d'Hélène. Un blog qui m'a donné envie de me maquiller, et qui jour après jour, m'a fait comprendre que finalement, ce n'est pas si difficile que ça. Et que l'on peut même y prendre un infini plaisir. J'y puise mes inspirations make up.

C'est par le blog d'Hélène que j'ai découvert les vidéos de Lisa Eldridge. Et là, je guette. J'adore la voir se métamorphoser en princesse sous nos yeux, à coup de fond de teint, de fards à paupière et de pinceaux. Une vraie Bonne Fée, comme dans les contes.

Là, j'ai un peu de temps devant moi. Disons que je peux voler au temps-qui-file une petite vingtaine de minutes juste après le coucher de la sieste. De quoi tester des make-up pour les fêtes et se replonger dans mes palettes. Pfuit... quand je pense que c'est avec la tête de gauche que je vais travailler chaque matin !

  • Stick DermaBlend en anticernes (juste dans le coin interne de l'oeil)
  • BB crème de Garnier
  • Cargo essentiel palette warm neutral (alors le doré qui est un peu trop clair-à remplacer par un brun moyen, et le brun foncé)
  • Blush crème Lancôme (un rose foncé, j'ai oublié la référence)
  • RAL Rouge Coco Muse de Chanel

Je vous mets la vidéo de mon maquillage préféré de toute ma vie. Un truc tout simple, tout bête, qui nécessite un khôl noir voir un reste de smoky de la veille mal démaquillé :-)), un brun moyen et ... de la vaseline. Jugez, et appréciez.

dimanche 18 décembre 2011

The girl with the dragon tatoo



J'ai adoré les trois livres, avec une admiration inconditionnelle pour le premier tome de la trilogie. Une vraie claque littéraire.

Je trouvais que l'adaptation suédoise était parfaite, en particulier Noomi Rapace, parfaite incarnation de Lisbeth Salander.

La semaine dernière, à la projection de Contagion, je suis la bande-annonce du remake américain, réalisé par David Fincher. Daniel Craig apparaît comme un Mickael Blomkvist vachement plus sexy que l'original suédois, mais on cherche des yeux le personnage de Lisbeth.

L'histoire est si terrible, qu'évidement je retournerai au cinéma, ne serait-ce que pour voir si, comme le titre semble l'indiquer, le réalisateur a choisi de privilégier l'entrée dans le récit par le personnage de Lisbeth.

Vacances, j'oublie tout !

Cette année, le sapin est deux fois plus grand que celui de l'année dernière. Il nous manque la grande Etoile, qui a dû se perdre dans un carton suite au mini-déménagement de cet été, mais je ne désespère pas de la retrouver. Jules le trouve "magnifique", et Etienne pose son doigt sur sa bouche en approchant pour dire "Jésus dodo".

Je savoure ce premier dimanche de vacances. J'ai quitté l'école vendredi avec une migraine terrible, et les rendez-vous médicaux/courses se sont enchaînés hier. J'espère insuffler plus de calme et de sérénité à ces vacances que ne le laisse présager les premiers jours.

TOUS mes achats de Noël sont faits. Il ne me reste plus qu'à réaliser les petits cartes pour indiquer les destinataires, et quelques paquets cadeaux. J'ai fixé mon choix sur les tenues que nous porterons : rien de neuf ! Cette année, on recycle. J'hésite encore sur mon maquillage de fête, mais je serais assez tentée par celui-ci. En même temps, le site d'Hélène regorge tellement d'inspiration que je ne voit pas comment je ne trouverais pas mon bonheur.

Mon thé est prêt, Etienne dort, Jules illustre son prochain "livre" et Gilles est à la guitare. Je m'en vais de ce pas regarder ladite vidéo.

jeudi 15 décembre 2011

Le mec de la tombe d'à côté

de Katarina Mazzeti.

C'est ma collègue Morgane qui me l'a prêté, après me l'avoir chaudement recommandé.

Dès les premières pages, on plonge avec délice dans cette prose si agréable et ce récit si différent. Ah, qu'il est bon de tourner les pages d'un livre quand on a le sentiment de ne jamais avoir lu quelque chose de semblable ! J'ai été enchantée du début à la fin du livre; sans doute ma meilleure lecture de l'année.

Résumé du livre, trouvé ici : "Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire de métier, et citadine pragmatique, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance. Au cimetière, elle rencontre le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que la tombe avec sa stèle tape-à-l'oeil. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, de façon assez rustique, et grâce à une bonne dose d'humour et d'auto-dérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il s'énerve contre la 'Crevette' qui occupe le banc au cimetière avec lui, avec son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Rien, a priori, ne rapproche ces deux-là, et pourtant, il suffira d'un sourire qui éclate simultanément sur leurs lèvres, pour qu'ils soient tous deux éblouis. C'est le début d'une histoire d'amour assez cocasse. Ils sont tout le contraire l'un de l'autre."

The crooner de Noël et sa crooneuse


Ben ouais, chacun ses chants de Noël :-))

Merci Estelle !

Et voilà ! Depuis la semaine dernière, le récit des aventures de Petit Âne s'ajoute au rituel chocolaté du soir.

lundi 12 décembre 2011

BB dans Be

Dans le Be de cette semaine, il y a un article sur les B.B. crèmes.

On y apprend quelques trucs, mais l'on affirme surtout que c'est une innovation majeur du make up pour femme pressée - je cite "Pourquoi on aime? D'abord parce que la BB cream permet de gagner du temps. Ensuite parce que c'est le produit nude par excellence, un révélateur de teint idéal (...)"

Un mois que je l'utilise, mais je n'ai pas encore franchi le pas de l'usage quotidien. Difficile de remettre en cause des années de rituels conditionnés par des pages de lectures féminines. J'aurai tendance à l'utiliser comme base de maquillage, alors que celle-ci pourrait s'appliquer direct après le nettoyage du visage. Incroyable.

J'apprends aussi que Dior et Lancôme vont bientôt sortir leur produit. Rrrrr, j'espère que j'aurai terminé mon tube Garnier avant.

dimanche 11 décembre 2011

T.O.C.

Oui, je sais, en ce moment j'oscille entre "J'ai rien à me mettre sous la pluie" et "Je veux porter un manteau rouge".

J'assume parfaitement mon matérialisme et mes obsessions.

J'ai encore vu ce soir, dans "Sept à huit", dans un reportage consacré à Miss France 2012, ce SUBLIME MANTEAU ROUGE que j'adore, mais que je ne trouve nulle part (sur le Net, j'entends). En même temps, il vaut mieux, parce que autre manteau rouge, divin lui aussi, attend sagement dans l'armoire de mes parents que je lui saute dessus dès le retour de la messe de Noël. Je serais trop dégoutée si je le voyais en boutique sous peu.

N'empêche que je le trouve extraordinaire. Et c'est pourquoi, Armor Lux, je m'adresse à toi de cette tribune qui n'a aucune influence et qui n'est lue que par mes proches trop gentils.

S'il te plaît, pense à moi si un jour tu décide de confectionner ce manteau pour toutes les autres filles qui ne sont pas des candidates à l'élection de Miss France. J'ai déjà un bérêt noir (Bompard, so chic), soit la moitié de la tenue, il ne te reste plus qu'à faire la moitié du chemin.

Je porte du 36 ou du 1, et je porte très bien le rouge. Merci !

Se repoudrer le nez



A bientôt 36 ans, je subis encore parfois des attaques acnéiques terribles. Ma riposte, dans ces cas-là, est d'oublier tout maquillage et de prendre mon mal en patience en attendant que cela passe.

Cette vidéo ne m'a toujours pas convaincue pour un maquillage en période Quasimodo, mais j'ai enfin pris le temps de la regarder et j'ai appris plein de trucs pour tous les jours. J'ai redécouvert ma poudre mosaïque translucide, et je suis montée direct tester un maquillage que je voulais naturel.

Evidemment, avec un Avant/après cela prendrait tout son sens.

Velouté d'automne

et ses tuiles au parmesan.

Hier soir, on recevait Sébastien et Valérie, heureux futurs parents et destinataires des chaussons . Evidemment, il n'y a avait pas au menu QUE le velouté et les biscuits, il y avait aussi de la lotte et du riz sauvage, des petits pains d'épices, de la glace à la vanille et un mini chocolat chaud.

L'essentiel du menu et de sa préparation revient à Gilles.
Ma part de résume à cette petite assiette.

samedi 10 décembre 2011

Le son de la semaine Vol# 3


Alors, si vous regardez attentivement, vous pouvez m'apercevoir au milieu de l'écran à la 6ème seconde.

vendredi 9 décembre 2011

Le son de la semaine Vol# 2


Allez, je poste facile, je sais.
Je pense que vous avez compris que maintenant JE SAIS poster des vidéos de You Tube :-))

mardi 6 décembre 2011

Ah oui, au fait...

ben il pleut toujours !

Sauf que désormais, il fait froid.

Ce qui ne me dit TOUJOURS pas ce que je peux porter pour aller travailler.

Aujourd'hui, c'était parka, bonnet irlandais et mitaines.

Et bottes.

Mais j'étais en jupe. J'aime vivre dangereusement.

Finalement, on est tous égaux sous la flotte. On ne ressemble à rien.

La honte leur appartient

de Maud Tabachnik.

J'avais été scotchée par Le cinquième jour. Et j'ai suivi les conseils de Gilles. On se partage toujours les bouquins.

Au début, j'aimais cette description de l'atmosphère et des pensées des années 50. Il y a deux semaines en revenant de la boxe, j'écoutais l'adaptation radiophonique des Années d'Annie Ernaux sur France Culture, et je m'étais fait la réflexion que j'étais curieuse de cette époque totalement méconnue, et pourtant vécue par la génération précédente.

Puis, l'intrigue a pris le pas sur le récit et la description. Une courte intrigue. "Ah, ben oui." Puis on referme le livre. En fait, je m'attendais à un polar, ce qui explique sans doute mon insatisfaction.

Présentation de l'éditeur, trouvée ici : "Pour quelles raisons, Walter, devenu notaire, revient-il dans sa ville natale après des années d'absence ? Ce personnage mystérieux suscite bien des interrogations parmi la bourgeoisie locale. Toutefois, Walter apaise les craintes en déclarant vouloir oublier le passé pour mieux préparer l'avenir. Mais que cache ce sombre passé ? Des années auparavant, ses parents et sa soeur furent déportés, sur décision des édiles de la ville lors d'un Conseil municipal. Bien que ses parents soient connus et respectés de tous, aucun voisin ne fit un geste pour les aider. Walter ne dut son salut qu'à un rendez-vous galant. Mais il assista à la scène et, depuis ce jour, la revit nuit après nuit dans ses cauchemars. Aujourd'hui, son but est de retrouver les assassins de ses parents et de les venger Il connaît le nom des responsables et sa position lui permet de recevoir les confidences et de connaître la situation de chacun. De plus, il a en sa possession des photos d'un riche industriel, en compagnie de sa femme de ménage, Martine Tranchant. Or, celle-ci, qui était enceinte de lui, vient d'être retrouvée noyée. La vie paisible de la petite ville ne sera bientôt plus qu'un lointain souvenir..."

Le son de cet été (remember...)


Et comme je suis super en retard de partage de morceaux favoris, je vous en poste un deuxième dans la foulée.

Une découverte des Vieilles charrues, cru 2011.

Le son de la semaine Vol# 1


En plus, ils sont craquants...

Achevés

Trois fois rien. Juste quelques mailles, en fait. J'ai hâte de les offrir.

Il est trop tard pour m'atteler au calendrier de l'Avent. Mes petits devront encore cette année se contenter des placards de cartons, dans lesquels les portes s'ouvrent sur des chocolats assez mauvais. Ne soyons pas snob.

Si je m'entraîne aux côtes 1/1 avant de le Grand Saut du premier ouvrage, les prochains jours vont être consacrés à la clôture du premier trimestre et à la surveillance acharnée de mon agenda. Pas question de finir débordée et exténuée : je me ménage comme un marathonienne.

Ce soir, je coche les listes et j'affine les choix. Demain, j'étrenne mon Thé de Noël.

vendredi 2 décembre 2011

Vous portez quoi quand il pleut ???

Non, parce que n'empêche, c'est vachement galère. J'ai beau avoir trench long, court, caban, parka, doudoune, ciré Cotten rouge, je ne sais jamais comment m'habiller quand il pleut.

Avant, je sortais avec un parapluie, et rien sur la tête. Avant, c'était genre AVANT les enfants. Après, avec les poussettes ou les bras, les parapluies c'est plus possible.

Les capuches, je n'aime pas ça. C'est surtout que les capuches ne tiennent pas, ou ne couvrent pas la tête. Ou alors, il faut resserrer avec un cordon. N'importe quoi. J'ai donc des chapeaux de pluie.

C'est pour le reste que ça ne va pas. Je n'aime pas porter mon ciré, il n'est pas confortable. Finalement, en hiver, c'est une petite doudoune noire Esprit que je porte le plus facilement. Je ne porte que ça, sans écharpe, parce que lorsqu'il pleut, je déteste le toucher d'une écharpe mouillée.

J'ai horreur de la pluie. Dire que ça fait deux jours qu'il flotte, j'ai des branchies qui poussent, et les nerfs en pelote.

jeudi 1 décembre 2011

Il pleut

Aujourd'hui, j'avais rendez-vous chez l'O.R.L. avec Etienne pour un contrôle après dix jours d'antibiotiques. R.A.S.
Revigorée par ce diagnostic, je protège Etienne sous la capote en plastique de la poussette, j'enfonce mon chapeau de pluie sur mes cheveux et je prends les trottoirs de Paimpol, déterminée à aller chercher Jules à pied, convaincue que la pluie ne pourrait tomber davantage.

J'atteinds l'école, dégoulinante. Etienne a disparu dans sa poussette derrière la buée. On repart néanmoins à la voiture le coeur léger; de toute façon, on est mouillé.

Finalement, on sera trempé. Une déferlante provoquée par une 206 noire. Jamais j'ai été ruisselante comme ça, j'avais même un goût d'eau boueuse dans la bouche. Arrivés à la maison, ce fut pyjama et chocolat chaud pour tout le monde. Je n'en reviens pas d'avoir garder ma bonne humeur.