vendredi 30 septembre 2011

Si je devais choisir...

Des fois, on joue à ça : si tu devais choisir tes trois livres/trois films/trois albums préférés, tu retiendrais quoi?
C'est souvent dur, comme tous les choix. Je ne suis pas une grosse consommatrice de musique, mais j'ai dans le coeur quelques albums. Des albums découverts il y a longtemps, au début puis à la fin de l'adolescence. Des albums dont on a mémorisé la succession des morceaux sans en retenir les titres. Ce qui est terrible, c'est que sur les trois, je n'en possède qu'un seul : le Blue lines. J'écoutais le premier en copie cassette sur mon baladeur (c'est dire que ça date...) et j'ai perdu le second. C'est pas grave, j'en garde la mémoire.The red shoes et Harvest se sont imposés comme une évidence, le dernier était en concurrence avec un Unplugged d'Eric Clapton. Mais il n'en reste que trois.
Je pense déjà à trois films, et trois livres (mission impossible).

jeudi 29 septembre 2011

Dôme, romans 1 et 2


de Stephen King.
Je pensais avoir mis plus de temps que ça à finir cet incroyable récit. J'avais vraiment l'impression d'être dessus depuis six mois, mais en fait non, juste deux.
Stephen King est mon écrivain préféré. A part quelques recueils de nouvelles sur lesquels j'ai fait l'impasse, je crois avoir tout lu de lui depuis le début de mon adolescence. J'ai commencé par Shinning, et après je n'ai raté aucune sortie.
Dôme est un récit fantastique. Stephen King construit page après page un univers à la manière d'un démiurge. La précision de la mise en place, le déroulement de l'action et la succession des évènements nous donne l'impression non pas de traverser l'intrigue comme il est de coutume dans un roman, mais d'observer du dessus un univers vivre sa vie. C'est comme si l'auteur avait adapté son style narratif au contenu du roman. La narration est là pour renforcer cet effet de "dôme". J'ai trouvé ça très, très fort. Je n'ai jamais décroché, et j'ai l'impression d'avoir lu chaque phrase. Longue vie à toi, Stephen.
A présent je repars dans mes Hunger Games. A présent en possession du troisième tome, je me refais les deux premiers pour être bien dedans.

mercredi 28 septembre 2011

Tracteur !

Comme Jules au même âge, Etienne enrichit son vocabulaire pratiquement de jour en jour.
Si Maman et Papa sont bien en place depuis quelques semaines, très vite talonnés par tracteur et Didier (le prénom du mari de la nounou), on entend à présent père pour grand-père, mère pour grand mère, pain, dodo, doudou, tétine, sssssssssi pour merci, ich pour Fish, pipi, caca, un truc comme cacal pour Chantal, la nounou. Il imite aussi le cri du chien, du chat, de la vache, du dinosaure (et oui !), reconnaît les canards (cacar) dans son imagier et les poules.
Il est toujours possédé par les démons de la danse, et quand son frère regarde un épisode d'Il était une fois la vie, Etienne nous offre un moment magique de babydance.
Il est gourmand. Cet après-midi, dans le jardin son frère a aménagé un piège à renards. N'ayant ni poule, ni lapin sous la main (après s'être renseigné sur ce que mange les renards), Jules cueille quelques framboises en guise d'appât. C'était sans compter sur la gloutonnerie de son petit frère, qui par l'odeur du fruit rouge alléché ne fit qu'une bouchée du contenu du petit pot. Un drame s'est joué dans le jardin.

samedi 24 septembre 2011

Détournement# 2


Après l'euphorie du premier billet, passons aux chose sérieuses : la sape.
La semaine dernière, je vous avouais mon penchant pour les catalogues de fringues pour femmes enceintes. Bien, c'est digéré. Cette semaine, je pose en top de pré-pubères. Voui. Cette blouse, je l'ai acheté chez Okaïdi. Taille 14 ans. Ou de l'avantage de ne pas avoir de seins.

Cette blouse est divine. Le tissu est une toile de coton assez épaisse, au tomber un peu lourd mais fluide en même temps. Le détail sont à croquer (doublée petits carreaux vichy rouge) Bref, je la porterais tous les jours.
Je l'aime tellement que je me dis que c'est pas possible. C'est une erreur de conception, ce miracle ne peut plus ce reproduire et au fond de moi, pour la survie de ma carte de crédit je prie pour que ce miracle ne se reproduise plus.

Cette blouse ne m'a coûté que... 25euros95.

Alors oui, peut-être que si j'étais cadre chez Vogue ou avocate au barreau de Paris, je ne pourrais pas la porter. Mais voilà, moi je suis maîtresse dans une toute petite école des Côtes d'Armor, et je m'habille comme je veux. Na.

Douceur# 5


Brrr, je suis un peu nerveuse, cela va-t-il marcher? Vais-je trouver ma place comme dans ce petit bout de Toile douillet qui m'hébergeait depuis plus de deux ans? J'ai hâte de poster ce premier billet pour voir ce que cela donne...
Alors je poste dans la continuité, avec ce magnifique bouquet que le Pierre de Ronsard nous offre cette année, après deux ans de rachitisme sous le prunier. Dans le jardin, les roses sont "les roses de Maman".